Les 24 et 28 novembre, l’Assemblée nationale doit se prononcer sur l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution. Après l’allongement du délai légal de l’avortement de 12 à 14 semaines adopté en février 2022 et alors que les politiques restent encore divisés sur l’utilité de cette proposition, beaucoup de catholiques réaffirment leur opposition à ce projet.
> En quoi l’avortement pose-t-il problème aux catholiques ?
> L’avortement, un échec pour les femmes et pour la société : n’est ce pas un peu exagéré ?
> Quelles alternatives la société offre-t-elle aux femmes en détresse ?
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Témoignages
« Je suis profondément attristée par cette proposition, on veut graver dans le marbre une loi qui ne résout rien au problème de l’avortement et à la détresse des femmes. » Marguerite
« Des députés aujourd’hui commettent un excès de zèle face à l’avortement en voulant en faire un droit constitutionnel. En 1975, Simone Veil voulait contrôler l’IVG et en dissuader les femmes. Aujourd’hui, on en fait un porte-étendard de la liberté, oubliant qu’il s’agit avant tout d’un échec, d’un drame et d’un acte qui peut-être vécu de façon violente. Ce vécu-là des femmes ne doit pas non plus être minimisé voire invisibilisé. » Louise